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Rencontre avec Thomas Leclerc, Responsable d’Offre Jedox et Anaplan chez Talan Solutions

Dans ce témoignage collaborateur, Thomas revient sur son parcours, ses missions en tant que Responsable d’offre et un souvenir fort chez Talan.

Visuel Thomas Leclerc
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Thomas Leclerc
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Peux-tu présenter ton parcours en quelques lignes ?

Diplômé de l’EISTI, j’ai rejoint Talan en 2016 pour mon stage de fin d’études avec comme maître de stage Nadia Abbassi, en charge du domaine « Performance Management ».

Grâce à cette expérience, j’ai pu rapidement gagner en autonomie et élargir le périmètre de mes interventions. J’intervenais à la RATP dans une équipe dédiée « EPM » dans laquelle on était 4 ou 5 collaborateurs. A la fin de ce stage de 6 mois, j’ai été embauché : l’ensemble de l’équipe EPM m’a accordé sa confiance. J’ai connu EXL Group et la transition vers Talan Solutions. Pendant cette période, l’entreprise a beaucoup évolué, tant au niveau de son organisation que de son envergure. 

J’ai ensuite rejoint SNCF Réseau en tant que consultant Tableau Software, c’était ma porte d’entrée chez ce client. Puis j’ai switché rapidement, et c’était l’objectif initial, vers des projets EPM. Durant cette mission d’un an et demi, je suis monté en compétences sur de nombreux outils. J’ai fait du Tableau software, de l’IBM TM1 et de l’Anaplan. J’étais aussi intéressé par Jedox, technologie sur laquelle je me suis auto-formé. J’ai arrêté la mission SNCF en 2018.  Je suis ensuite intervenu pour EDF sur des projets Jedox ce qui m’a permis d’atteindre un réel niveau d’expertise. 

J’ai donc pratiqué 4 technologies qui correspondent à 4 offres EPM Talan.

Aujourd’hui et depuis 2018, je suis Responsable d’offre Jedox et Anaplan avec pour objectifs de développer l’offre, former les équipes et les accompagner. En tant que responsable d’offre, je peux suivre des sujets de bout en bout.

 

Quelles sont tes missions actuelles ?

Depuis le début de l’année, je partage mon temps entre ma mission Jedox à la SNCF Mobilités, un projet de pilotage de l’emploi (RH), des formations Jedox (je suis formateur certifié), la gestion des équipes, le management, les entretiens annuels l’accueil de nouveaux arrivants, etc.

Avec la crise du Covid-19, les missions se font à distance, même si, depuis toujours, je suis en « front » avec nos clients. Mon rôle est de proposer des solutions concrètes répondant à leurs besoins en m’appuyant sur Jedox ou Anaplan. Chaque jour, je propose et anime des ateliers, je réponds aux questions des utilisateurs, je fais du conseil et de la conception technique. Pour résumer, je dirais que c’est 50% de maîtrise d’œuvre et 50% d’assistance à maîtrise d’ouvrage

 

3 mots pour présenter Talan ? 

Humanité : C’est le mot qui me vient en premier. Il représente tous les collaborateurs que j’ai rencontrés mais aussi les managers qui ont une confiance absolue dans leurs équipes. 

Réalisme : Si du fait d’une forte croissance, le réalisme nous a parfois fait défaut, c’est aujourd’hui quelque chose qu’on est en train de retrouver. C’est une notion d’autant plus importante dans le contexte sanitaire actuel. J’aimerais bien qu’on aille plus loin… Et être moteur dans ce domaine.

Bienveillance : Chez Talan, on est toujours bienveillant. Tous les managers que j’ai eu m’ont appris que la bienveillance met les collaborateurs dans un état d’esprit qui permet de tirer le meilleur des autres et de soi-même. Dans mon équipe, la bienveillance est omniprésente. On est tous sur la même longueur d’onde. 

 

Chez Talan, quel est ton terrain de jeu ? Comment arrives-tu à l'explorer ? 

Lorsque je suis en mission chez le client, c’est le terrain de jeu sur lequel je prospère le plus. C’est là où je donne tout. J’essaie d’apporter les solutions les plus pertinentes possibles aux problèmes posés. Il faut toujours être force de proposition et, en permanence, améliorer sa communication. Ce qui fait la différence, c’est la capacité d’écoute et de proposer la solution la plus adéquate.

 

Un souvenir fort depuis que tu es chez Talan ? 

Il y en a plusieurs... Ce sont d’abord les pots de départ de mission : des moments forts de bonheur et tout à la fois de tristesse. On a la satisfaction d’avoir tout donné, le meilleur de soi-même mais, en même temps, on quitte des gens que l’on apprécie. En fait, ce sont des pots de « re-départ » puisque, souvent, ils annoncent aussi une nouvelle mission. Cela fait partie intégrante de la vie de consultant : partir, revenir.

Il y a aussi les moments festifs, tels que les afterworks et les séminaires. Les deux séminaires au Portugal nous ont permis de trouver, tous ensemble, une certaine cohésion. C’est un moment privilégié où l’on peut parler à tout le monde. Ces moments de convivialité, c’est ce qui me manque le plus aujourd’hui. 

 

Quelle personne t'inspire le plus ?

Ce qui m’inspire vraiment dans ma vie professionnelle et personnelle, ce sont les comportements positifs, les actions, les initiatives, pas forcément les personnes. Par exemple, j’observe Nadia Abbassi et sa façon de gérer certains problèmes liés à « l’humain ». A ses côtés je me suis vite rendu compte que la façon la plus intelligente était de traiter les causes au lieu de traiter les maux, parce qu’elle anticipe déjà sur la suite de événements et les répercussions. 

L’inspiration est partout. Elle peut également venir de quelqu’un qui est capable de construire des machines ultra-compliquées en Lego ou de celui qui sera capable d’inventer la réelle intelligence artificielle. Je suis aussi inspiré par Elon Musk, qui cherche à aller sur Mars et qui va tout faire pour atteindre son objectif, même si c’est improbable qu’il y arrive de son vivant, même si j’espère me tromper. Bref, je pioche un peu partout.